par Ici Vous Pouvez Parler De La Sélection Française Entraîneur Joueurs Matchs ....
La Sélection Française
mikeRED GENERAL
- Nombre de messages : 183
Age : 36
Date d'inscription : 25/08/2007
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Les Bleus sont sur la bonne voie
Dimanche, 9 septembre 2007
Le nul ramené d'Italie samedi réjouit les Français, qui ont pourtant souffert à San Siro. Un résultat à faire fructifier mercredi face à l'Ecosse.
Le dernier quart commence
"Si nous ne gagnons pas mercredi au Parc des Princes, ce 0-0 sera un mauvais résultat." Au milieu du satisfecit français, dans les vestiaires de Milan, Raymond Domenech avait déjà l'esprit tourné vers le neuvième de douze matches de son équipe de France, dans le Groupe B des éliminatoires de l'UEFA EURO 2008™. A l'abord du dernier quart du parcours qui mène le vainqueur directement en Autriche et en Suisse, ses joueurs tiennent pourtant la corde avec 19 points, un de plus que son prochain adversaire et deux d'avance sur le précédent.
Landreau toujours invaincu
Accueillis par des sifflets lors de la Marseillaise qui ont "choqué" le président de la Fédération française Jean-Pierre Escalettes, les Français ont vécu probablement leur rencontre la plus difficile depuis le début des éliminatoires. Filippo Inzaghi a touché la barre en première période et Mickaël Landreau, qui n'a toujours pas pris de but en bleu en six sélections, est intervenu à deux reprises pour préserver le 0-0.
Défense centrale expérimentale
"Je n'ai pas tremblé", avoue pourtant Domenech qui, suspension oblige, observait depuis la tribune présidentielle. "J'avais le sentiment que nous ne prendrions pas de but." Cette relative tranquillité n'était pas assurée en l'absence de William Gallas en défense centrale. Mais le Barcelonais Lilian Thuram et le Sévillan Julien Escudé, associés pour la première fois, ont réalisé une rencontre de haute volée. Ils ont aussi bénéficié d'un match extraordinaire, devant eux, de Patrick Vieira.
Du grand Vieira
Pour sa première titularisation depuis sa blessure aux ischio-jambiers, le 22 août en Slovaquie, le capitaine français, sur sa pelouse du FC Internazionale Milano, a pesé à la fois défensivement et offensivement pour les Bleus. "Nous sommes satisfaits de ce résultat car nous sommes parvenus à rester concentrés pendant 90 minutes", a-t-il déclaré.
L'Ukraine marque le pas
Ce nul sans but "qui aurait pu basculer sur un coup de pied arrêté ou sur l'un de nos contres" (Domenech) revêt un double avantage comptable. Après sa vitoire 3-1 à l'aller, la France est assurée de terminer devant l'Italie si les deux équipes terminent à égalité de points. Car les confrontations directes font alors foi. Les deux équipes peuvent se réjouir également du nul de l'Ukraine en Géorgie (1-1), qui met les joueurs d'Oleh Blokhin (4es), à six points de la France, mais avec un match en moins, au moment d'accueillir l'Italie.
Rendez-vous devant l'Ecosse
Les Français, eux, ont rendez-vous mercredi avec l'Ecosse au Parc des Princes, à Paris. Face à la seule équipe qui a battu Raymond Domenech en compétition sur 90 minutes (1-0 en octobre dernier), les Bleus ont l'occasion de prendre encore de l'avance, surtout en cas de victoire 2-0. "L'Ecosse est un équipe de guerriers qui se transcendent dans cette compétition depuis le début", redoute Domenech, qui ne pourra aligner Thierry Henry, suspendu. Il a encore trois jours pour préparer le retour des Bleus au Parc pour la première fois depuis le 11 juin 1997 (2-2 en amical face à l'Italie).
Dimanche, 9 septembre 2007
Le nul ramené d'Italie samedi réjouit les Français, qui ont pourtant souffert à San Siro. Un résultat à faire fructifier mercredi face à l'Ecosse.
Le dernier quart commence
"Si nous ne gagnons pas mercredi au Parc des Princes, ce 0-0 sera un mauvais résultat." Au milieu du satisfecit français, dans les vestiaires de Milan, Raymond Domenech avait déjà l'esprit tourné vers le neuvième de douze matches de son équipe de France, dans le Groupe B des éliminatoires de l'UEFA EURO 2008™. A l'abord du dernier quart du parcours qui mène le vainqueur directement en Autriche et en Suisse, ses joueurs tiennent pourtant la corde avec 19 points, un de plus que son prochain adversaire et deux d'avance sur le précédent.
Landreau toujours invaincu
Accueillis par des sifflets lors de la Marseillaise qui ont "choqué" le président de la Fédération française Jean-Pierre Escalettes, les Français ont vécu probablement leur rencontre la plus difficile depuis le début des éliminatoires. Filippo Inzaghi a touché la barre en première période et Mickaël Landreau, qui n'a toujours pas pris de but en bleu en six sélections, est intervenu à deux reprises pour préserver le 0-0.
Défense centrale expérimentale
"Je n'ai pas tremblé", avoue pourtant Domenech qui, suspension oblige, observait depuis la tribune présidentielle. "J'avais le sentiment que nous ne prendrions pas de but." Cette relative tranquillité n'était pas assurée en l'absence de William Gallas en défense centrale. Mais le Barcelonais Lilian Thuram et le Sévillan Julien Escudé, associés pour la première fois, ont réalisé une rencontre de haute volée. Ils ont aussi bénéficié d'un match extraordinaire, devant eux, de Patrick Vieira.
Du grand Vieira
Pour sa première titularisation depuis sa blessure aux ischio-jambiers, le 22 août en Slovaquie, le capitaine français, sur sa pelouse du FC Internazionale Milano, a pesé à la fois défensivement et offensivement pour les Bleus. "Nous sommes satisfaits de ce résultat car nous sommes parvenus à rester concentrés pendant 90 minutes", a-t-il déclaré.
L'Ukraine marque le pas
Ce nul sans but "qui aurait pu basculer sur un coup de pied arrêté ou sur l'un de nos contres" (Domenech) revêt un double avantage comptable. Après sa vitoire 3-1 à l'aller, la France est assurée de terminer devant l'Italie si les deux équipes terminent à égalité de points. Car les confrontations directes font alors foi. Les deux équipes peuvent se réjouir également du nul de l'Ukraine en Géorgie (1-1), qui met les joueurs d'Oleh Blokhin (4es), à six points de la France, mais avec un match en moins, au moment d'accueillir l'Italie.
Rendez-vous devant l'Ecosse
Les Français, eux, ont rendez-vous mercredi avec l'Ecosse au Parc des Princes, à Paris. Face à la seule équipe qui a battu Raymond Domenech en compétition sur 90 minutes (1-0 en octobre dernier), les Bleus ont l'occasion de prendre encore de l'avance, surtout en cas de victoire 2-0. "L'Ecosse est un équipe de guerriers qui se transcendent dans cette compétition depuis le début", redoute Domenech, qui ne pourra aligner Thierry Henry, suspendu. Il a encore trois jours pour préparer le retour des Bleus au Parc pour la première fois depuis le 11 juin 1997 (2-2 en amical face à l'Italie).
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